Chaque automne, une poignée de cyclistes endurcis commencent le processus de transformation de leurs vélos, afin de le rendre mieux équipé pour rouler l’hiver, et ce, sur des chemins enneigés et glacés. Selon le Huffington Post, 11 % des cyclistes montréalais roulent l’hiver. C’est très peu, lorsque l’on imagine les milliers de vélos qui fourmillent un peu partout dans la métropole, par temps plus tempéré. Est-ce l’intolérance du froid ou plutôt l’inquiétude d’obtenir un niveau de sécurité adéquat qui décourage les autres 89 %?
Conseils
L’équinoxe a laissé l’automne entrer. D’ailleurs, on a bien l’impression qu’il n’attendait que ce jour pour se montrer le visage. Vous l’avez senti, cela fait bien trois semaines que les températures plus froides sont au rendez-vous, jour comme nuit.
La baisse de température n’est pourtant pas une raison pour laisser ces bonnes habitudes de côté. Pourquoi arrêter de se déplacer en vélo, ou simplement aller rouler, alors qu’il nous reste encore de nombreuses magnifiques journées d’automne pour en profiter.
Il y a quelques semaines, nous vous avons présenté de précieux conseils de physiologistes, d’entraîneurs et de cyclistes professionnels, tirés du célèbre magazine de vélo Bicycling[1]. Dans cette chronique, nous avons pensé que vous pourriez être intéressé par la section mécanique de l’article. Voici donc quelques trucs pratiques pour préparer votre monture à la saison chaude, qui elle, semble vouloir se pointer timidement le nez.
Le vélo est un sport qui gagne en popularité au fil des années. Bien qu’accessible à tous et convivial, il requiert tout de même un minimum d’équipement et de préparation. Que vous sillonniez les routes par amour de la nature, pour améliorer vos performances ou par souci d’écologie, il est essentiel de partir avec un minimum de matériel et de connaissances pour que tout roule.