Montréal, vendredi, 15 h 00. C’est l’une de ces journées printanières où tout le monde rêve d’être sur une terrasse au soleil. Pour ma part, je sors du bureau à la hâte habillée d’une belle robe adaptée à une journée de réunions. J’attends ce moment depuis maintenant plusieurs jours. Vite, je saute dans ma voiture et je prends la direction de l’autoroute des Laurentides. Je parviens à me faufiler entre les voitures en ne perdant que quelques petites minutes dans le trafic des vacanciers qui se dirigent vers le nord pour une fin de semaine loin de la ville.