L’équipe des achats de La Cordée est allée faire un tour au salon Outdoor Retailer à Salt Lake City au début du mois d’août. C’est après une semaine intense et remplie de nouveautés qu’elle vous présente ses coups de cœur pour les produits du printemps prochain!
Blogue
Deux semaines à l’avance, j’apprends que je dois me rendre en Allemagne pour le travail. Le tout n’a rien à voir avec le sport; je dois aller à Köln (Cologne) pour un congrès de jeux vidéo. Toutefois, par pur plaisir, je me suis mis à regarder le calendrier des évènements sportifs à proximité du colloque. Demi-marathon? Triathlon? Je tombe sur le plan le plus corsé : le Championnat européen de Ironman 70.3 à Wiesbaden, une ville tout près de Francfort. D’emblée, je me fixe un seul objectif; y aller pour le plaisir et l’expérience plutôt que pour la compétition. Avec le recul, je constate que cette manière de considérer ma participation à l’événement était la bonne.
Que ce soit sur un autre continent ou en Amérique, à pied, en vélo, en voilier ou au volant d’un VR, partir en voyage c’est comme tomber en amour. Vous vous abandonnez dans les bras de l’aventure et tout ce qui importe c’est le moment présent. Toutefois, ces idylles sont souvent éphémères et la rupture, le retour de voyage, peut être très difficile à vivre pour certaines personnes. Réadaptation au train-train quotidien pour les uns, choc culturel inversé pour les autres, le blues du retour est une réalité qui guette tous les voyageurs. Comment vous en protéger ou atténuer son ampleur? Voici quelques pistes de solutions proposées par La Cordée.
L’arrivée
Ma famille et moi débarquons en Islande. Nous y pédalerons tout l’été. Caméra à l’épaule, nous partons à l’aventure. J’y réaliserai un film pour les Grands Explorateurs. Dix personnes qui voyagent ensemble, c’est plus simple que ça n’y paraît. Nous voyageons séparément, c’est plus économique. Cinq d’entre nous arrivent les premiers, les autres nous rejoignent dans 5 jours. Papa Pierre et Louis-Philippe (le 3e) arriveront à la fin juillet et l’aîné viendra nous rejoindre en août. Après un premier vol de deux heures de Montréal à Halifax, nous montons à bord de l’avion d’Icelandair pour quatre heures. Il nous mènera à l’aéroport de Kevlavik, à une cinquantaine de kilomètres au sud de la capitale Reykjavik (le « j » se prononce « i »). En arrivant, nos cinq vélos nous attendent dans leurs boîtes respectives sur un chariot. Nous remettons les guidons et les pédales en place, nous soufflons les pneus et finissons l’installation de nos sacoches sous la supervision de Jean-Cristoph qui sera notre mécano pour ce voyage.
« Welcome home, Bon retour à la maison! » nous souhaitait la gentille douanière canadienne à notre arrivée en Colombie-Britannique qui nous questionnait davantage sur notre voyage plutôt que sur le contenu de nos sacoches. Nous arrivions alors de Seattle après plus de 400 km sur la côte ouest de l’État de Washington, le cœur gros et plein de bons souvenirs de nos voisins du sud. Maintenant, direction est! Ici, des cyclotouristes il y en a. À peine avions-nous donné nos premiers coups de pédales en Colombie-Britannique que nous avions déjà croisé une dizaine de routards à deux roues faisant eux aussi la traversée du Canada. Nous n’étions plus les seuls. Traverser le Canada à vélo, c’est devenu un classique et les options d’itinéraires sont limitées. Résultat : nous recroisons souvent les mêmes personnes. Cependant, en vélo, chacun y va à son rythme et tous le font pour des raisons qui leur sont propres. Sans surprise, la manne de cyclotouristes se dilue plus nous pénétrons à l’intérieur du pays.
Cette année encore, la saison de vélo de montagne a démarré très lentement. Pour cause, l’hiver n’en finissait plus. Néanmoins, l’été arrivant et les efforts de plusieurs passionnés de la discipline aidant, le Québec et le nord-est des États-Unis offrent de magnifiques sentiers cyclables. Les adeptes du vélo de montagne de La Cordée ont essayé plusieurs sites. Entre les sentiers plus marginaux et les grands classiques, voici leur top 5 des destinations de vélo de montagne.
Vous le savez sans doute, le corps humain est une machine. Et pour bien performer, à l’entraînement comme à la course ou tout simplement pour le plaisir, son carburant c’est l’alimentation.
Ce que vous choisissez de consommer avant, pendant et après la course, c’est ce qui fera passer l’activité physique d’un calvaire à une réussite totale.
La plupart des gens s’entendent sur le sujet : aussi simple que cela puisse paraître – après tout, c’est trois fois par jour que nous nous nourrissons –, il est loin d’être simple de bien s’alimenter pour performer.
Commencez-vous tout juste à vous entraîner sérieusement? Ou êtes-vous peut-être un athlète accompli? Pour pouvoir améliorer vos performances, vous aurez besoin d’outils.
La semaine dernière, La Cordée a couvert les cyclomètres, ou compteurs pour vélos, au grand bonheur des cyclistes. Pour nos camarades coureurs, il existe l’équivalent : les montres d’entraînement.
Pour plusieurs, les journées où le mercure du thermomètre est trop élevé est un facteur dissuasif pour prendre leur vélo et aller rouler. Lorsqu’une température supérieure à 27 °C est annoncée, ça peut faire fondre toute volonté et brûler le plaisir de pédaler. Toutefois, La Cordée pense qu’il est possible et même plaisant d’enfourcher sa monture sous un soleil ardent. Il suffit de bien se préparer. Mordus de vélo, voici quelques conseils pour attaquer les routes lorsqu’il fait chaud.
Lorsqu’il s’agit de choisir un cyclomètre, c’est un monde de possibilités qui s’ouvre devant vous. Votre moyenne, votre vitesse maximale, la durée de votre sortie, votre cadence, votre puissance ou votre position géographique sont autant d’informations qui peuvent être lues grâce à un cyclomètre. Laquelle ou lesquelles de ces données vous seront le plus utiles? La Cordée vous aide à démêler le tout. Que vous soyez un cycliste urbain ou de montagne, un adepte de balade ici et là ou un cycliste à la recherche de performance, l’ordinateur parfait existe.