Envie d’une dernière virée dans les feuilles pour se mettre en forme pour la saison hivernale? Avant d’enfiler vos skis, vos raquettes, votre foulard et vos mitaines, La Cordée vous propose de chausser vos bottes de randonnée pour humer, contempler et ouïr ce que seul l’automne peut offrir. Voici quatre randonnées familiales à découvrir (ou à redécouvrir) avant que le ciel déverse son doux et ô combien glissant manteau blanc.
Votre totem scout était le singe, l’écureuil ou le raton-laveur? Votre progéniture démontre les mêmes habiletés que vous lorsque vous étiez enfant; un moment d’inattention et hop! la voilà juchée au sommet de la bibliothèque familiale? Profitez des arbres qui arborent encore leurs couleurs, ou des centres d’escalade par temps maussade, pour initier votre famille ou vos amis au monde de la verticalité. Et si vous avez déjà une bonne expérience de grimpe derrière la cravate, rejoignez des endroits mythiques où, par bonheur, l’automne et ses couleurs durent plus longtemps qu’au Québec.
Vous étirez la saison de vélo jusqu’à ce que Dame Nature étende son manteau blanc? Vous visitez secrètement le site Project One de Trek pour fabriquer, juste pour le plaisir, le bolide de vos rêves? Vous lisez régulièrement les chroniques de Foglia dans l’espoir qu’il y parle de vélo et la majorité de vos mots de passe réfèrent à l’univers du cyclisme? Alors, vous êtes un mordu de vélo et ce qui suit est pour vous. Ou bien, si vous reconnaissez quelqu’un de votre entourage dans cette description, aidez-le à survivre à l’hiver en lisant également ce qui suit.
Bien vite, de fins cristaux blancs tomberont du ciel au grand bonheur des passionnés de sports de glisse. Or, pour de nombreux cyclistes, ce changement de température sera le signal qu’il est venu le temps de remiser (sûrement à regret!) leur monture jusqu’au printemps (exception faite pour les mordus de vélo d’hiver évidemment!). Pour éviter de retrouver votre monture dans un piètre état au printemps, voici, en rafale, les précieux conseils des mécanos de La Cordée.
Si vous avez envie de relever de nouveaux défis ou d’expérimenter la liberté de courir à travers les arbres, les racines et les roches, vous devriez opter pour la course sur sentier. Ce sport de plein air vous permet de fouler des terrains naturels, tout en faisant travailler de nombreux muscles dans votre corps. Bien sûr, avant de sauter dans les sentiers, il faut savoir modifier sa technique de course pour parcourir les terrains accidentés sans se blesser. Avant de vous lancer, consultez notre liste de suggestions pour éviter les blessures et pour profiter au maximum de votre nouvelle expérience.
Dans les dernières années, le monde du sport a vu croître, de manière importante, le nombre d’adeptes de la course à pied. Pour répondre à la demande grandissante dans ce domaine et plus particulièrement dans celui de la course sur sentier, La Cordé a décidé d’introduire de nouvelles gammes de produits destinées aux coureurs qui choisissent de fouler les sols naturels.
Même si la saison de vélo est loin d’être terminée pour certains, de nombreux cyclistes passionnés portent déjà une oreille très attentive aux tendances et aux innovations annoncées pour 2014. Comme les acheteurs vélo de La Cordée arrivent à peine des grands salons cyclistes, ils ont accepté de nous dévoiler une partie des nouveautés vélo pour la saison à venir. Donc, en grande primeur, quelques détails croustillants qui devraient faire rêver les mordus de vélo.
Fortes d’une saison complète d’entraînement, vos jambes sont maintenant prêtes à donner le meilleur d’elles-mêmes avant que vous remisiez votre monture. Pour profiter des couleurs et des odeurs avant que dame nature fige le tout dans la glace jusqu’au printemps ou pour éviter de tomber dans les pommes et d’être ralenti par les marées de cueilleurs, vous devriez peut-être lorgner du côté des itinéraires proposés.
Par Michèle Leclerc
Photos de Guillaume Dury
« Maman, je pense que je suis perdu… Je ne sais pas où je suis et mon cellulaire a presque plus de piles. »
Mon cœur fait trois bonds. Je dormais, mais à ses mots, mon réveil se fait instantanément. Assise dans mon lit, j’écoute attentivement mon fils aîné qui m’appelle du Panama. Il est perdu quelque part au sud de l’Amérique centrale, dans une forêt tropicale humide, à plusieurs heures de la capitale. Il veut se rendre dans une station de recherche scientifique pour y effectuer des observations sur un groupe d’insectes. L’autobus public l’a déposé au milieu de nulle part. D’où il est, il ne voit aucune trace de vie humaine.
