Défi de course relevé pour les employés!

Avoir une philosophie d’entreprise axée sur le bien-être des employés, c’est assurément bénéfique pour tous. À La Cordée, ça fait longtemps qu’on s’efforce d’encourager les employés à aller jouer dehors. D’ailleurs, en fin de semaine, douze employés ont pris part au marathon Rock’n’roll Oasis en arborant les couleurs cordéennes. Bien fiers d’eux, on a eu envie de savoir rapidement comment s’était passée leur expérience :

C. – Coureuse aguerrie (et maman bien fière)

Mon moment fort…

Quand j’ai vu ma grande fille finir son premier dix kilomètres à vie.

Dans mes oreilles il y avait…

Les encouragements de la foule qui m’incitaient à continuer.

Le lendemain, mon corps était…

Prêt à recommencer.

T. – Coureur intermédiaire

Ma plus grande difficulté…

M’entraîner de manière constante et résister à l’envie de retourner à la maison à cause du froid matinal le matin de la course.

Mon moment fort…

Revient à une dame assez âgée, qui chantait en tapant sur un tambour. Elle ne le sait pas, mais c’est elle qui me poussait à poursuivre ma course.
Le lendemain, mon corps était…

Pas si pire, grâce à une tonne d’étirements!

D. – Coureur intermédiaire

Mon moment fort…

Le départ et l’arrivée étaient excitants. Mais basculer en haut de la côte Berri en me sachant si près de l’arrivée était aussi très satisfaisant. Quand j’ai tourné sur Sainte-Catherine, encore en mode estival dans le Village, avec ses boules roses accrochées au ciel, ça m’a aussi donné de l’élan.

Le lendemain, mon corps était…

Fatigué. J’avais les jambes raides et une bonne ampoule derrière un pied.

E. – Coureuse intermédiaire

Ma plus grande difficulté… 

Courir dans une mer de monde. C’est difficile de dépasser des gens et d’avoir un rythme constant.

Mon moment fort…

Mon arrivée sur la côte Berri. Beaucoup de gens y étaient pour nous encourager ce qui fait que les derniers kilomètres se sont faits dans une joie intense.

Dans mes oreilles il y avait…

Une playlist (sur mode aléatoire) de Danko Jones, Eminem, Mackelmore & Ryan Lewis.

Le lendemain, mon corps avait…

Besoin d’une visite chez le chiro avant de me confirmer que tout était beau!

O. – Coureur aguerri

Ma plus grande difficulté…

Ne pas dépasser la vitesse que je m’étais fixé pour éviter de rencontrer le risque de rencontrer le fameux mur des 30-35 km.

Mon moment fort…

Les dix derniers kilomètres; quand je savais que j’aurais l’énergie de finir dans un bon temps (je calculais 2 h 57 j’ai réalisé 2 h 56’40). J’ai réussi l’épreuve du marathon sans la subir.

Dans mes oreilles, il y avait…

Pas de musique. J’ai discuté avec les autres coureurs et écouté le son de mes 36 000 pas. Et bien sûr, les encouragements de la foule à partir du vieux Montréal!

Le lendemain, mon corps avait…

Des cuisses et des mollets qui refusaient de monter ou de descendre les marches. Je devais me hisser à la force de mes bras. Mais la bonne nouvelle : pas d’ampoule cette année!

julienpJ. – Coureur aguerri 

Ma plus grande difficulté…

Trouver la motivation de m’entraîner trois fois par semaine, seize semaines avant l’événement. Tout particulièrement cet été alors que la température a atteint près de quarante degrés Celsius au mois d’août!

Mon moment fort…

Le dernier kilomètre de la course est toujours le moment que je préfère. En plus d’être le point final à l’épreuve, ce moment est rempli des encouragements de la foule et ça me porte sur un nuage!

Le lendemain, mon corps était…

Étonnamment bien. J’avais bien planifié mes entraînements, mon alimentation et mon sommeil avant la course, de sorte que j’ai été surpris par mon état dans les moments qui ont suivi la course, ainsi que le lendemain. Oui, j’avais bien quelques raideurs, mais rien qui puisse m’empêcher de monter les escaliers!

S.- Coureuse aguerrie

Ma plus grande difficulté…

M’entraîner de manière assidue malgré mes blessures.

Mon moment fort…

Le fil d’arrivée. Ça me donne toujours les larmes aux yeux. Je suis bien fière de mon accomplissement.

Dans mes oreilles, il y avait…

 De la grosse musique électro pour me garder dans le beat!

Le lendemain, mon corps était…

Lourd. J’avais l’impression qu’un camion m’avait roulé sur les deux jambes. Monter ou descendre les escaliers était une épreuve en soi.

 

Et à vous tous qui vous êtes donné le défi de fouler le sol montréalais pour le plaisir de la chose, on vous dit « Bravo! ». Continuez de mettre du plein air dans vos vies, ça aide à trouver le           bonheur.