700 miles, c’est environ ce qu’il reste à marcher pour que Danielle atteigne son objectif à la fin du mois de septembre : le sommet du mont Katahdin. Depuis le dernier billet qu’on vous a proposé, elle a enfilé les miles à bon train, a vécu une bonne mésaventure et a traversé plusieurs États : des étapes importantes qui donnent vraiment l’impression d’avancer!
Voyage
Aujourd’hui, je vous conte une histoire d’échec et de succès. Aujourd’hui, je vous livre quelques mots pour parler d’un décor qui ne mérite que vos yeux pour vraiment l’apprécier. C’est le récit d’un voyage avec deux inséparables comparses, François et Simon, en randonnée en Patagonie et en alpinisme sur le mont Marmolejo.
Êtes-vous mordu d’aventures et d’expéditions? Si oui, vous connaissez certainement l’importance de l’ultraléger dans ces projets et de l’économie de poids en coupant (parfois littéralement) un peu partout dans son matériel.
Pour vous aider à planifier votre prochain projet hors des sentiers battus, on vous propose dix articles de plein air ultralégers qui sauront répondre à vos besoins les plus exigeants!
Par Walter Beauchamp, alias Senseï
Après deux jours de pluie et de neige au travers des cols de Silver et de Solden, j’étais enfin rendu à Mammoth Lakes. Prisonniers d’une tempête de neige avec plusieurs thru-hikers près du col de Forester, Gazelle et moi planifiions de randonner ensemble une fois de plus. C’est ainsi que de Lones Pines, elle m’a rejoint sur le pouce et le surlendemain, nous étions dans un bus en direction d’Echo Lake. De là, ce fut 150 miles à l’arraché. Ç’a été incroyablement difficile, mais on a réussi à passer au travers. On est aussi resté quelque temps à Yosemite Valley et c’est ainsi que de son côté, elle est répartie pour le second chapitre de sa formation de carrière et que je termine de mon côté la section des Sierras dans les jours suivants. Sérieusement, j’en ai bavé durant ces 400 miles…
Le bikepacking, vous connaissez? C’est une manière à la mode de vivre le cyclotourisme. Mais le bikepacking se veut plus minimaliste et plus compact. Utilisez votre vélo favori, ajoutez-lui des sacs de bikepacking — sacs de selle surdimensionnés, sacs de cadre, sacs de guidon, sacs fourre-tout à l’avant et une panoplie d’accessoires pour accrocher du matériel sur la fourche et sur le tube horizontal — et partez à l’aventure, sur la route ou les sentiers.
C’est nul autre que Vincent Hamel, membre du personnel de La Cordée Boutique, qui s’est lancé dans la traversée de l’édition 2018 de la Tour Divide, cet événement de bikepacking de 4418 km qui a débuté vendredi dernier. Vincent est accompagné de son père Mario et, ensemble, ils s’attaqueront aux défis innombrables présentés par le parcours légendaire de la Great Divide Mountain Bike Route (GDMBR). Vincent a choisi comme monture un Kona Sutra LTD. Pour Mario, c’est un Salsa Cutthroat. Nous leur souhaitons le succès dans cet exploit des plus ardus!
Avec quelque 1800 kilomètres au compteur — la moitié de la distance à parcourir! —, Danielle a eu le temps de penser, de réfléchir, de peser son existence et d’arriver à certaines conclusions… et à de nouvelles questions. L’AT est pleine de surprise, même si jour après jour, la routine reste la même. Lever au petit matin, marche toute la matinée, puis dîner et marche jusqu’à la fin d’après-midi, moment où elle trouve un endroit pour se camper, se faire à manger et s’offrir une bonne nuit de sommeil. Voici donc ses réflexions du début du mois de juin.
juiLe grand jour est arrivé! Danielle est partie affronter les quelque 3500 kilomètres de l’Appalachian Trail. Suivez-la ici à travers quelques interventions sur Facebook, mais suivez-la aussi sur cette carte qui indique le chemin parcouru à ce jour. Au départ de Dawsonville, près d’Atlanta, en Géorgie, le 28 mars dernier, Danielle prévoit se rendre au bout de la trail, au sommet du mont Katahdin, au début du mois d’octobre prochain!
Par Walter Beauchamp, alias Senseï
Ça fait quatre jours que j’ai échappé mon cellulaire dans une rivière non loin du mont Whitney… Quel con! Je me suis accroupi sur un arbre afin d’être plus stable pour franchir un obstacle et mon cellulaire est tombé de la poche frontale de mon sac photo, directement dans le courant. Je n’ai rien perdu de vraiment important — tout est sauvegardé dans les nuages ou quelque part dans un ordinateur —, sauf les trois derniers jours de mon journal. Dommage!
Depuis 1974, Osprey offre des sacs à dos spécialement conçus pour les amateurs de plein air et de sports en tout genre. Au fil des ans, la marque a gagné en popularité et a su tailler sa place au sein d’un marché du plein air toujours grandissant. Aujourd’hui, le fabricant originaire de la Californie se targue de posséder l’une des plus grande part du marché du plein air au Canada et aux États-Unis.
Et les gens aiment Osprey avec raison. Nombre des innovations que la marque a proposées dans les 40 dernières années ont littéralement changé l’expérience du plein air de nombreux amateurs et amatrices du grand air. La technologie de moulage personnalisé et les systèmes Anti-Gravity, Airscape et AirSpeed en sont les fiers héritiers aujourd’hui.